Article publié dans La Revue Economique, 2022/02 (Vol.73)
Les banques centrales ont dans l’histoire fait preuve d’une extrême plasticité quant à leur mandat, leur doctrine et à leurs modalités d’interventions. Nous montrons que la prise en compte de la soutenabilité climatique s’inscrit dans la continuité de cette adaptation permanente aux évolutions du contexte macroéconomique et institutionnel dans lequel elles agissent. Nous présentons ensuite les principaux arguments en faveur de cette extension du mandat des banques centrales à la question climatique. Enfin, nous analysons les dispositions opérationnelles et les instruments que ce nouveau central banking « vert » pourrait promouvoir en matière de politique monétaire et de politique macroprudentielle.
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Dans cette thèse de doctorat j'utilise des modèles issus de l'économie des réseaux pour comprendre comment les effets des politiques environnementales non coordonnées, tel que taxes ou incitations à la R&D se propagent à l'échelle mondiale dans les secteurs productifs, le secteur technologique de l'innovation ainsi que sur les institutions financières.
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